Cher.es tou.tes,
En lieu et place de l’atelier de réalisation sonore autour des four, foyer, feu, qui n’a pas pu avoir lieu pour des raisons indépendantes de notre volonté, nous avons concocté un programme alternatif, les 7 et 8 juillet, en écho à la rencontre qui aurait du prendre place.
Les 7 et 8 se tiendra un stage rencontre autour du chant polyphonique mené par Maud HERRERA et Jean F. Favreau (pour s’inscrire, c’est ici)
Le vendredi 8, à partir de 19 heures, à Lavauzelle, la soirée sera composée de :
- La performance de la plasticienne Anna GIANFERRARI : Vire sur Volte
- des écoutes, en particulier de vignettes sonores réalisées l’année dernière lors du stage « J’ai écouté dire » avec la réalisatrice sonore Péroline BARBET dans un nouveau montage pensé pour prendre place dans le futur sentier d’interprétation de Moutier Rozeille.
- Le concert solo de la musicienne Maud HERRERA, Tal Coal
L’entrée et la participation sont libres. Il y aura de quoi se restaurer, mais vous êtes invité.es à apporter quelque chose à manger ou à boire.
Cet événement reçoit l’aide du Centre régional des musiques traditionnelles en Limousin (qui a contribué à la production de Tal Coal) et de la Direction régionale des affaires culturelles de Nouvelle Aquitaine.
Maud HERRERA
Tal Coal est un concert solo qui s’écoute comme on regarde une carte géographique : on se promène à travers différents paysages, des filtres de couleur nous permettent d’imaginer d’autres époques, d’autres temps. A partir des mélodies occitanes du Haut-Agenais collectées par Pèire Boissière, Tal Coal tente de développer un langage musical, entre chansons folk et expérimentations sonores.
Anna GIANFERRARI
« Vire Sur Volte » est une performance d’Anna Gianferrari qui mêle costumes, objets, danses, sons et textes. C’est une éclosion, une transe-formation, un psaume survolté, un toast à la tendresse, une cape qui virevolte sur des chemins de désirs, des cercles, des cycles et des rythmes…
informations, réservations : spt (at) lavauzelle.org • zéro six 10101944
dessin : K. Tsiolkovski, vers 1930